Simultan
The Sly Cats
Aus Simultan
Benoît rentra à la maison plus tôt que d'habitude. Il avait demandé de pouvoir quitté le magasin à 16h et son chef ne s'y était pas opposé. De toute façon il avait tellement d'heures supplémentaires à récupérer qu'il aurait même pu demander cinq jours de congé d'affilée.
Il but un thé à la vanille et il jeta un coup d'oeil aux factures qu'il avait trouvé dans sa boîte aux lettres. Il prit ensuite sa guitare et il sortis en direction de chez Lucie, pour l'aider à charger la batterie dans sa bagnole. Ce soir-là il avait un concert avec les Sly Cats, son groupe de jazz, où il jouait de la guitare. Et Lucie la batterie.
Ça faisait deux ans déjà, qu'ils jouaient ensemble. En fait la toute première fois que les Sly Cats avaient joué ils ne s'appelaient même pas Sly Cats. C'était chez Benoît, dans son nouveau appart de Bienne, lors de la pendaison de crémaillère. Lui à la guitare et Lucie aux percussions. Des percussions improvisées, comme des casseroles et des louches ou bien une chaise frappée avec les mains. Ils ne se connaissaient pas, Lucie était juste l'amie d'un ami. Et pourtant, il avait été comme s'ils jouaient ensemble depuis toujours.
Le nom du groupe, The Sly Cats, était né à cause de – ou grâce à – Carmelo. Benoît et Lucie avaient décidé qu'il fallait trouvé un nom pour le groupe. Et quelqu'un qui jouait de la contrebasse aussi. Ils avaient écrit une annonce pour trouvé un troisième musicien, mais le nom du groupe... Ils avaient du mal à sortir des idées.
Benoît avait alors regardé son chat: «Hé Carmelo, arrête de dormir et donne nous des idées!». Le chat s'était levé, il s'était étiré et il avait sauté dans les bras de Benoît.
«J'ai une idée», s'en était sortie Lucie. «Les chats... les chats quelque chose». Silence. «Les chats sournois! Ça te plaît?».
Carmelo avait miaulé: «Mmh... niente male!»
«Ouais mais... en français j'sais pô... Ça donne quoi en anglais?»
Ils avaient cherché dans le dictionnaire: «The Sly Cats!».
Il but un thé à la vanille et il jeta un coup d'oeil aux factures qu'il avait trouvé dans sa boîte aux lettres. Il prit ensuite sa guitare et il sortis en direction de chez Lucie, pour l'aider à charger la batterie dans sa bagnole. Ce soir-là il avait un concert avec les Sly Cats, son groupe de jazz, où il jouait de la guitare. Et Lucie la batterie.
Ça faisait deux ans déjà, qu'ils jouaient ensemble. En fait la toute première fois que les Sly Cats avaient joué ils ne s'appelaient même pas Sly Cats. C'était chez Benoît, dans son nouveau appart de Bienne, lors de la pendaison de crémaillère. Lui à la guitare et Lucie aux percussions. Des percussions improvisées, comme des casseroles et des louches ou bien une chaise frappée avec les mains. Ils ne se connaissaient pas, Lucie était juste l'amie d'un ami. Et pourtant, il avait été comme s'ils jouaient ensemble depuis toujours.
Le nom du groupe, The Sly Cats, était né à cause de – ou grâce à – Carmelo. Benoît et Lucie avaient décidé qu'il fallait trouvé un nom pour le groupe. Et quelqu'un qui jouait de la contrebasse aussi. Ils avaient écrit une annonce pour trouvé un troisième musicien, mais le nom du groupe... Ils avaient du mal à sortir des idées.
Benoît avait alors regardé son chat: «Hé Carmelo, arrête de dormir et donne nous des idées!». Le chat s'était levé, il s'était étiré et il avait sauté dans les bras de Benoît.
«J'ai une idée», s'en était sortie Lucie. «Les chats... les chats quelque chose». Silence. «Les chats sournois! Ça te plaît?».
Carmelo avait miaulé: «Mmh... niente male!»
«Ouais mais... en français j'sais pô... Ça donne quoi en anglais?»
Ils avaient cherché dans le dictionnaire: «The Sly Cats!».