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Diskussion:Dialogue Clair-obscure: Unterschied zwischen den Versionen

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 Les lumières des phares se reflétant sur le plafond correspond vraiment bien à l'insomnie. On arrive pas à dormir et on s'amuse à regarder le plafond. Le fait que Thomas se prend au jeu de laisser le "hasard" des phares répondre à cette question montre très bien l'état d'incertitude et de remise en question qui le torture. L'éternel Dom Juan qui tombe amoureux, sa vie en est changée, belle histoire !
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 Les lumières des phares se reflétant sur le plafond correspond vraiment bien à l'insomnie. On arrive pas à dormir et on s'amuse à regarder le plafond. Le fait que Thomas se prend au jeu de laisser le "hasard" des phares répondre à cette question montre très bien l'état d'incertitude et de remise en question qui le torture. L'éternel Dom Juan qui tombe amoureux, sa vie en est changée, belle histoire !  
  
Pab
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Très bonne idée, la lumière des phares pour «répondre» à ses questions, ça amène une intervention extérieure originale dans son dialogue intérieur, et en même temps, permet de prendre de la distance sur les réflexions qu'il fait et de ne pas tomber trop dans l'apitoiement. Aussi intéressante, la vue externe du début pour mettre en scène le regard de du lecteur des pensées de Thomas. J'aime bien la sensibilité générale du texte, aussi.
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Leïla

Version vom 22. Oktober 2010, 09:53 Uhr

 Les lumières des phares se reflétant sur le plafond correspond vraiment bien à l'insomnie. On arrive pas à dormir et on s'amuse à regarder le plafond. Le fait que Thomas se prend au jeu de laisser le "hasard" des phares répondre à cette question montre très bien l'état d'incertitude et de remise en question qui le torture. L'éternel Dom Juan qui tombe amoureux, sa vie en est changée, belle histoire !

Pab


Très bonne idée, la lumière des phares pour «répondre» à ses questions, ça amène une intervention extérieure originale dans son dialogue intérieur, et en même temps, permet de prendre de la distance sur les réflexions qu'il fait et de ne pas tomber trop dans l'apitoiement. Aussi intéressante, la vue externe du début pour mettre en scène le regard de du lecteur des pensées de Thomas. J'aime bien la sensibilité générale du texte, aussi.


Leïla