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Diskussion:Bien.: Unterschied zwischen den Versionen
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| − | J'adore la jalousie qu'il y a entre Sven et Jörg. le rapport est vraiment complexe et ambiguë entre ces deux personnages. Le passage où il imagine Sven caresser sa femme est super. Il a des problèmes avec Mathilde et l'imagine avoir une relation avec Sven, niveau psychologique cela peut aller très loin et je trouve que le monde intérieur du personnage est bien retranscris dans le texte. | + | J'adore la jalousie qu'il y a entre Sven et Jörg. le rapport est vraiment complexe et ambiguë entre ces deux personnages. Le passage où il imagine Sven caresser sa femme est super. Il a des problèmes avec Mathilde et l'imagine avoir une relation avec Sven, niveau psychologique cela peut aller très loin et je trouve que le monde intérieur du personnage est bien retranscris dans le texte. |
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| + | Par contre j'ai dû relire à deux fois pour bien tout comprendre (bon c'est peut-être parce que c'est le matin), mais en même temps c'est assez chouette d'avoir écrit ce texte de manière très "confuse" puisque le personnage est ivre et donc complètement hors de sa tête. | ||
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| + | Arthur | ||
Version vom 22. Oktober 2010, 10:05 Uhr
J'adore la jalousie qu'il y a entre Sven et Jörg. le rapport est vraiment complexe et ambiguë entre ces deux personnages. Le passage où il imagine Sven caresser sa femme est super. Il a des problèmes avec Mathilde et l'imagine avoir une relation avec Sven, niveau psychologique cela peut aller très loin et je trouve que le monde intérieur du personnage est bien retranscris dans le texte.
Pab
J'ai adoré cette phrase : "Il était vivant entre deux murs, une planche, un matelas, une migraine et sa bêtise." et aussi quand tu parles, un peu avant de "lever de soleil de sa torture".
J'ai bien aimé l'ambiance globalement !
Par contre j'ai dû relire à deux fois pour bien tout comprendre (bon c'est peut-être parce que c'est le matin), mais en même temps c'est assez chouette d'avoir écrit ce texte de manière très "confuse" puisque le personnage est ivre et donc complètement hors de sa tête.
Arthur