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Mon père, ce salaud, 25.06.08: Unterschied zwischen den Versionen

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Mon père, ce salaud.
  
Mon père, ce salaud.
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On a toutes enfant rêver d'épouser son père... et d'évincer sa mère... Moi aussi. J'étais folle amoureuse de mon papa ; mon père c'était le plus grand, le plus beau, le plus intelligent... Mon père c'était l'homme fort et rassurant. C'était un père modèle, un mari modèle, un ami modèle... bref en résumé un modèle.
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Un modèle qui formait un couple modèle avec ma maman. Ils étaient beaux tous les deux, ils étaient amoureux et ils étaient heureux. Ma mère quand elle parlait de mon père, elle avait de petites étoiles dans les yeux, quand il lui prenait la main elle avait le feu aux joues, et quand il l'embrassait dans le cou, elle riait, franchement sans honte ni gêne. Non... j'aimais vraiment mon père : c'était un modèle.
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C'était surtout une belle imposture !
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Merci papa, merci de m'avoir ramenée à la réalité, grâce à toi je sais que le prince charmant n'existe pas, mais que les crapaux jonchent le sol. ça m'aidera sûrement dans la vie, d'avoir eu un beau salaud comme père...

Version vom 24. März 2010, 01:16 Uhr

                                                                                                                                                                              25.06.08


Mon père, ce salaud.


On a toutes enfant rêver d'épouser son père... et d'évincer sa mère... Moi aussi. J'étais folle amoureuse de mon papa ; mon père c'était le plus grand, le plus beau, le plus intelligent... Mon père c'était l'homme fort et rassurant. C'était un père modèle, un mari modèle, un ami modèle... bref en résumé un modèle.

Un modèle qui formait un couple modèle avec ma maman. Ils étaient beaux tous les deux, ils étaient amoureux et ils étaient heureux. Ma mère quand elle parlait de mon père, elle avait de petites étoiles dans les yeux, quand il lui prenait la main elle avait le feu aux joues, et quand il l'embrassait dans le cou, elle riait, franchement sans honte ni gêne. Non... j'aimais vraiment mon père : c'était un modèle.

C'était surtout une belle imposture !

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Merci papa, merci de m'avoir ramenée à la réalité, grâce à toi je sais que le prince charmant n'existe pas, mais que les crapaux jonchent le sol. ça m'aidera sûrement dans la vie, d'avoir eu un beau salaud comme père...