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- Quoi? Quel trafic? mais t’as pété un plomb Ewa? Je n’ai rien à voir avec ça, fait Jan, paniqué
- Où... elle tord un peu plus le poignet de Jan, elle pointe maintenant son PP7 sur la tempe de celui-ci, as-tu… trouvé ce paquet de clope ?
- Mais qu’est-ce que j’en sais Ewa, j’en ai dix-milles des paquets de clopes je ne pas sais tous d’où ils viennent nom d’un chien !
- Je vais te le demander pour la dernière fois, cette fois elle place son PP7 juste sous les testicules de Jan.
- Ok ! ok ! ok ! je vais te le dire Ewa, je vais te le dire, mais s’il te plaît, pas mes boules chéries, pas elles, non !
- Et bien j’attends, chochotte.
- C’est une fille que j’ai rencontré il y a quelques semaines, elle s’appelle Dzanna, mais je te jure ce n’était pas une pute, j’en ai fini avec les putes qui dealent, je te l’assure…
- Où est-ce que je peux la trouver cette Dzanna ?
- Je ne sais pas, on était bourré tous les deux, je lui ai proposé de venir ici pour prendre un peu de meth, mais elle voulait pas, c’était pas son genre, elle disait qu’elle ne pouvait pas faire ça à son fils… Elle ne parlait que de ça, de son fils… Son nom c’est Arsen, je crois…
- Il m’en faut plus Jan, tu le sais, c’est pas suffisant…
- Non je t’assure, on n’a fait que baiser, elle devait prendre le train pour retourner en Ukraine le lendemain… Elle crèche chez une tante à elle quelques jours dans le quartier de la gare centrale, et elle rentre. J’en sais pas plus, on n’a pas beaucoup parlé, dit-il avec un sourire sournois. Elle m'apporte des paguets, je lui donne de l'argent, je sais rien de plus.
Ewa joue avec la détente, Jan louche du côté du canon.
- Le 21.10,le direct pour Kiev, ta copine sera dans le train, tu vas t'en assurer.
- Un traffic express? Ma Dzanna impliquée?
Jan acquiesce. Ewa le pousse violemment, Jan fini par terre les jambes en l’air.
- Bon sang Jan, penses à mettre un caleçon la prochaine fois. Je reviendrai te voir bientôt.
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- Was? Welcher Schmuggel? Ist dir die Sicherung durchgebrannt, Ewa? Ich habe damit nichts zu tun, sagte Jan panisch.
- Wo … Sie schwang ihre PP7, setzte sie auf Jans Schläfe … hast du dieses Paket Kippen her?
- Was weiß ich, Ewa. Ich habe zehntausende Kippenpakete, von denen ich nicht weiß, woher sie kommen.
- Ich werde dich ein letztes Mal fragen: … und sie richtete die PP7 auf Jans Hoden
- Ko, ok okay. Ich werde es dir sagen, Ewa, ich sags dir, aber bitte nicht meine heiligen Eier, bitte nicht!
- Ja Schwuchtel, ich höre.
- Da gibt es eine Frau, sie heißt Dzanna, aber sie ist keine Hure, keine dealende Hure, damit bin ich durch.
- Wo ist sie?
- Ich weiß es nicht. Wir haben uns ein, zweimal getroffen. Ich hab ihr vorgeschlagen, dass wir zu mir gehen, ein bisschen Stoff, du weißt schon. Sie wollte nicht, so sei sie nicht, hat sie gesagt, und außerdem der Junge. Gott, sie redet von nichts anderem. Arsen, heißt er. Wie Arsen, verstehste. Die hat ne Vorliebe für giftige Stoffe, sag ich dir.
- Hör auf zu labern, Jan! Wo ist sie?
- Wenn sie hier ist, pennt sie bei einer Tante, irgendwo in der Nähe des Hauptbahnhofs, ein paar Tage, dann fährt sie zurück. Mehr weiß ich nicht, wir haben nicht viel miteinander geredet. Sie bringt mir Pakete. Ich gebe ihr Geld. Mehr weiß ich nicht.
Ewa drückte ihm die Pistole in den Schritt. Jan wich zurück.
- Frag doch sie. Am 21.10 fährt ein Zug. Sie wird dabei sein. Der Direkte ab Kiew.
- Schmuggelexpress? Sag schon!
Jan nickte. Ewa stiess ihn, er fiel: den Rücken auf den Boden, die Beine schossen hoch in die Luft.
- Und um Himmels Willen, Jan, zieh dir beim nächsten Mal ne Hose an. Bis bald, der Gauner.
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