Simultan
Ce matin il me vient une idée...: Unterschied zwischen den Versionen
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| − | De : Nina <nininana@hotmail.com><br>À : Louis Fabrice <Louis.Fabrice@ch.pwc.com><br>Dernier brouillon enregistré : ???<br><br>… à savoir que c’est peut-être toi, qui vas me montrer, comment faire surgir les émotions, ah… je vois, tu l’as déjà fait, là, au téléphone, c’est marrant, non, mais c’est vrai, tu viens de me faire rire, en qqs minutes tu as réussi à m’énerver, j’ai ri, c’est un petit rire, mais, quand même, le cadavre émotionnel résuscité, je peux, donc, pouvoir te dire, ce qui m’a traversé la tête, quand ils ont trouvé ma clé, plutôt, quand je me suis rendu compte que c’était bel et bien ma clé, c’est important, car je me suis, bien sûr, fait du souci, qu’ils avaient peut-être trouvé une clé qui ressemblait à la mienne, et, si tu suis bien mon raisonnement, deux choses me semblent plus claires maintenant : 1) j’oublie constamment des trucs, 2) je me fais du souci sur tout et rien, bon, ce n’est pas forcément nouveau, pour toi, en tout cas, mais de là, on peut tirer la conclusion, ou, pour rester plus dans ma ligne de pensée, on peut voir le lien entre les deux, à savoir que j’oublie peut-être des choses, parce que ma tête est remplie de soucis, et que, par ailleurs, qu’il n’y a plus de place pour les émotions. Oh my … je me rends compte que j’ai écrit tout ça pour arriver à cette fin ridicule. Je pense qu’on en a fait le tour maintenant. Le cercle se ferme. On peut arrêter là. | + | De : Nina <nininana@hotmail.com><br>À : Louis Fabrice <Louis.Fabrice@ch.pwc.com><br>Dernier brouillon enregistré : ???<br><br>… à savoir que c’est peut-être toi, qui vas me montrer, comment faire surgir les émotions, ah… je vois, tu l’as déjà fait, là, au téléphone, c’est marrant, non, mais c’est vrai, tu viens de me faire rire, en qqs minutes tu as réussi à m’énerver, j’ai ri, c’est un petit rire, mais, quand même, le cadavre émotionnel résuscité, je peux, donc, pouvoir te dire, ce qui m’a traversé la tête, quand ils ont trouvé ma clé, plutôt, quand je me suis rendu compte que c’était bel et bien ma clé, c’est important, car je me suis, bien sûr, fait du souci, qu’ils avaient peut-être trouvé une clé qui ressemblait à la mienne, et, si tu suis bien mon raisonnement, deux choses me semblent plus claires maintenant : 1) j’oublie constamment des trucs, 2) je me fais du souci sur tout et rien, bon, ce n’est pas forcément nouveau, pour toi, en tout cas, mais de là, on peut tirer la conclusion, ou, pour rester plus dans ma ligne de pensée, on peut voir le lien entre les deux, à savoir que j’oublie peut-être des choses, parce que ma tête est remplie de soucis, et que, par ailleurs, qu’il n’y a plus de place pour les émotions. Oh my … je me rends compte que j’ai écrit tout ça pour arriver à cette fin ridicule. Je pense qu’on en a fait le tour maintenant. Le cercle se ferme. On peut arrêter là. |
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Version vom 11. Juni 2010, 18:19 Uhr
De : Nina <nininana@hotmail.com>
À : Louis Fabrice <Louis.Fabrice@ch.pwc.com>
Dernier brouillon enregistré : ???
… à savoir que c’est peut-être toi, qui vas me montrer, comment faire surgir les émotions, ah… je vois, tu l’as déjà fait, là, au téléphone, c’est marrant, non, mais c’est vrai, tu viens de me faire rire, en qqs minutes tu as réussi à m’énerver, j’ai ri, c’est un petit rire, mais, quand même, le cadavre émotionnel résuscité, je peux, donc, pouvoir te dire, ce qui m’a traversé la tête, quand ils ont trouvé ma clé, plutôt, quand je me suis rendu compte que c’était bel et bien ma clé, c’est important, car je me suis, bien sûr, fait du souci, qu’ils avaient peut-être trouvé une clé qui ressemblait à la mienne, et, si tu suis bien mon raisonnement, deux choses me semblent plus claires maintenant : 1) j’oublie constamment des trucs, 2) je me fais du souci sur tout et rien, bon, ce n’est pas forcément nouveau, pour toi, en tout cas, mais de là, on peut tirer la conclusion, ou, pour rester plus dans ma ligne de pensée, on peut voir le lien entre les deux, à savoir que j’oublie peut-être des choses, parce que ma tête est remplie de soucis, et que, par ailleurs, qu’il n’y a plus de place pour les émotions. Oh my … je me rends compte que j’ai écrit tout ça pour arriver à cette fin ridicule. Je pense qu’on en a fait le tour maintenant. Le cercle se ferme. On peut arrêter là.